2019 - 2020: L’exposition "Vivre les métiers du social : 100 ans d’histoire et de formation"30/9/2019
L’exposition "Vivre les métiers du social : 100 ans d’histoire et de formation" devient itinérante et arrive dans votre région :
-à Tournai, à la Haute Ecole en Hainaut, du 30 septembre au 11 octobre 2019 -à Mons, à la Haute Ecole Louvain en Hainaut, du 21 octobre au 12 novembre 2019 -à Charleroi, à la Bibliothèque de l’Université du Travail, du 19 novembre au 16 décembre 2019 -à Herstal, au Motorium, du 8 février au 31 mars 2020 "Exposition : Vivre les métiers du social"
Les partenaires "Première journée d'échanges sur les formations et les métiers du social" Notre première rencontre aura lieu le jeudi 1er mars de 10h00 à 15h00 à notre siège bruxellois, au 111 rue de la Poste (à 5 min. de la gare du Nord).
Elle prendra la forme d’un atelier privilégiant les échanges verbaux qui aura pour objectifs de : -partager les contours de notre projet de recherche -recueillir les réflexions de professionnels autour de l’interprofessionnalité Comment, représentants de métiers différents, travaillons-nous ensemble ? Comment nous reconnaissons-nous en tant que professionnels ? Comment intégrons-nous cette interprofessionnalité dans les métiers et dans la formation ? -formuler quelques questions qui structureront notre objet de recherche. Par la suite, nous prévoyons de répondre à un appel à projet dont vous pourrez être partie prenante de différentes manières, en fonction de vos souhaits et disponibilités. L’association prend en charge vos frais de déplacement. Repas et pause-café compléteront cette journée conviviale. Dans un souci d’organisation, nous vous prions de bien vouloir nous informer par retour de mail de votre participation pour le 20 février au plus tard. "Deuxième rencontre des chercheurs" Rencontre des membres, des chercheurs, des coordinateurs des cellules de recherche nationale et des coordinateurs de cellules de recherche et internationale L’Association Belge pour la Recherche et l’Intervention Sociale (Abfris) a le plaisir de vous convier à la deuxième réunion d’échange et d’information sur les projets internationaux de recherche à développer durant les mois qui viennent. Après une première étape en juin avec bon nombre d’entre vous, nous nous étions engagés à relancer la démarche autour cette fois des projets Erasmus +. C’est chose faite avec cette proposition de rencontre le 13 février 2017 de 12h00 à 14h00 au 111, rue de la Poste, à 1030 Bruxelles. À l’ordre du jour :
"Première rencontre des chercheurs" Rencontre des membres, des chercheurs, des coordinateurs des cellules de recherche nationale et des coordinateurs de cellules de recherche et internationale
L’ABFRIS, Association Sans But Lucratif, regroupe depuis 2007 des formateurs, des chercheurs et des professionnels de l’intervention sociale engagés dans la promotion du développement scientifique, pédagogique, professionnel et dans le rayonnement de l’intervention sociale de langue française. L’association favorise les rencontres, les dialogues et soutient le développement des relations, des projets et des partenariats, tant sur le plan national qu’international. Aujourd’hui, l’association souhaite renforcer les dynamiques entre les partenaires de recherche au niveau national et international. En effet, si chacun s’engage dans des projets internationaux, les synergies entre partenaires locaux sont moins habituelles. Nous sommes persuadés que la rencontre, l’échange sont souvent à l’origine de l’émergence de projet de recherche. C’est pourquoi nous vous invitons à une rencontre des chercheurs, des membres ou proches de l’Aifris (congrès de Porto) ou de l’Abfris, des coordinateurs des cellules de recherche nationale et des coordinateurs de cellules de recherche internationale le 9 juin 2016 de 14h00 à 16h00 au 111, rue de la Poste, à 1030 Bruxelles. Elle se déroulera en deux temps : Présentations: - Joëlle Libois, présidente de l’Aifris, présentera les articulations/ synergies possibles entre le niveau national et international, entre les secteurs de recherche et de formation à l’international et définira le rôle de plateforme et de carnet d’adresses que peut jouer l’Aifris ; - François Gillet, membre de l’Abfris, présentera son expérience de projets Erasmus + et les articulations/ synergies possibles avec l’Abfris dans ce cadre. Echange : Bourse d’idées ou de projets de recherche et/ou propositions de thématiques ou de projets de mobilité, d’échange de pratiques, de réseau, de carnet d’adresses. "Travailler ensemble pour une société du mieux vivre ensemble" La première journée de l’ABFRIS en 2010 avait comme sujet : « Diplômes historiques et nouveaux métiers du social ».La deuxième, en 2012, s’intitulait : « Résister aux effets pervers de l’idéologie managériale dans le social » et avait pour objet d’aborder la situation de l’intervention sociale et de ses actions, face aux logiques managériales actuelles, de rechercher les moyens de lutter contre elles et de défendre l’intérêt des personnes, dans le respect de la démocratie. Pour faire lien avec ces deux premières journées d’étude, nous avons centré cette troisième journée d’étude sur deux thèmes étroitement reliés : 1. comment travailler ensemble ? (quel(s) type(s) de collaboration /coopération/co intervention) ; 2. pour qui, avec qui devons-nous travailler ensemble et pour quoi ? Pour quel « mieux vivre ensemble de tous et de chacun » ?
"Résister aux effets pervers de l’idéologie managériale dans l’intervention sociale" Dans leur quotidien, les professionnels de l’intervention sociale sont confrontés à un décalage entre l’image idéale de leur profession, les réalités du terrain et les prescriptions des tâches édictées dans les institutions. Avec les difficultés économiques à répétition que nous connaissons, la pression sur les intervenants sociaux s’aggrave et rend ce décalage plus problématique encore. Table ronde N° 1 : Précarisation du travail social... précarisation des travailleurs sociaux Le contexte sociopolitique actuel conduit le champ de l’intervention sociale vers de nouvelles normes de gestion. Les valeurs du management s’y diffusent de plus en plus, même si c’est de manière différente, selon les secteurs d’activité. Parfois bien installées dans certains services sociaux, elles se profilent progressivement dans d’autres. À côté des effets de ces nouvelles normes de gestion sur le travail effectué avec les usagers, il paraît important de s’arrêter aussi sur les répercussions directes qu’elles ont sur les institutions et les travailleurs du champ de l’intervention sociale. Ainsi, comment les organisations peuvent-elles assurer leurs activités et leur pérennisation dans un contexte de gestion budgétaire à enveloppe fermée ? Comment assurer les missions de fonctionnement liées à leur objet social ? Comment assurer la prise en charge des contrats des intervenants à long terme ? Comment l’organisation prend-t-elle (ou peut-elle prendre) en compte la situation du professionnel (intervenant, travailleur social) ? Quels effets sur l’implication, l’investissement de l’intervenant dans son travail ?
Table ronde N° 2 : Formation généraliste ou spécialisation: quelle cohabitation ? Certains secteurs du non-marchand exercent de plus en plus de pression pour que les écoles forment des spécialistes ou des intervenants « clé sur porte ». Comment gérer la tension entre la formation généraliste proposée par les écoles et la spécialisation attendue par le terrain ? Les professionnels sont de plus en plus confrontés à la nécessité d’être efficaces, performants, rentables. Ils sont soumis à de nouvelles normes et procédures, aux référentiels métiers, la standardisation des pratiques professionnelles. Dès lors, comment la formation peut-elle permettre à l’étudiant de construire son identité professionnelle et ainsi de se situer dans le champ social ? Les écoles peuvent-elles (encore) être un lieu d’échanges et de réflexions pour les professionnels, voire avec eux ? Comment peuvent-elles former et aider à prendre distance et favoriser la concertation autour des pratiques ?
Table ronde N° 3 : Accueillir sans activer, est-ce possible ? Que faire si l’aide devient conditionnée par la capacité de l’usager à se mettre en projet alors qu’il n’a pas ou ne veut pas de projet ? Comment prendre en charge les exclus des politiques d’activation ? Des lieux d’accueil sans exigences particulières sont nécessaires pour permettre, pendant un temps non défini, aux personnes de se poser et de se reconstruire, de redevenir sujet. Quel rôle ces lieux peuvent-ils tenir dans le champ de l’intervention sociale ? Quelle reconnaissance et quels moyens existe-t-il pour l’intervenant social ? Qui plus est, un usager ne pourrait-il pas s’autoriser un temps de « réflexion » dans l’ensemble des services ?
Table ronde N° 4 : Le social ... un nouveau business plan ? Les pressions budgétaires sont telles que les services publics sont amenés à déléguer ou à traiter en tout ou en partie certaines problématiques à travers des partenariats public/privé ou des systèmes de sous-traitance. Celles-ci, historiquement assumées par le secteur non marchand, sont désormais récupérées par le secteur marchand. Soumis à une forme de clientélisation, l’ensemble des acteurs, tant les usagers que les professionnels du champ social, est en quête de repères et d’identité. Pouvons-nous y voir une forme de créativité face aux besoins actuels de la société ou un risque de dérive ? Quels sont les effets et les impacts d’une telle transformation sur les pratiques des intervenants ? Qu’en est-il de la place accordée à l’usager (et à sa famille), à sa (ses) demande (s)/désir (s) ?
"Nouveaux métiers et diplômes historiques : Quels enjeux pour l’intervention sociale et la formation ?" Le 29 avril 2010, la première journée d’étude de l’ABFRIS a été organisée à Jemeppe-Sur-Meuse. Dans l’esprit de l’association, cette journée a permis à des professionnels du social, à des chercheurs et à des enseignants de ce champ socioprofessionnel ainsi qu’à des étudiants de confronter leurs perceptions et leurs analyses des mouvements multiples qui secouent et modifient ce champ en Belgique francophone depuis une bonne vingtaine d’années et qui concernent les nouvelles problématiques, les nouvelles catégories d’usagers, les nouvelles spécialités de l’intervention sociale…
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